ETUDE DE L’INTERACTION DU COUPLE ‘MASSIF ROCHEUX- SOUTENEMENT /REVETEMENT ’ D’UN TUNNEL – CAS METRO D’ALGER
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Date
2020
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Abstract
Dans les zones fortement urbanisées, le creusement d'ouvrage peut en effet
engendrer des désordres importants aux structures existantes, avec des conséquences
humaines et économiques non négligeables.
Pour assurer une meilleure stabilité du tunnel et faire le bon choix des méthodes de
creusement, plusieurs mesures de précaution doivent être prises durant les différentes
phases des travaux.
Le choix du matériel d'après la nature des terrains.
Localisation des nappes aquifères.
Le comportement des terrains en parallèle avec le creusement du tunnel.
L'étude de l'interaction du massif rocheux-soutènement a été réalisée selon la
méthode convergence-confinement. De plus, les méthodes utilisées ont été
développées pour déterminer les facteurs intervenant au cours de l'interaction massif
rocheux-soutènement et d'établir un organigramme structurel pour la réalisation du
tunnel.
Afin de dimensionner en première approche le soutènement provisoire nous avons
utilisé les méthodes empiriques et analytiques, puis afin de valider les solutions
proposées nous avons utilisé la méthode convergence-confinement. Cette dernière
nous a permis de définir les paramètres importants à introduire lors d'un calcul plus
élaboré par la méthode des éléments finis à travers le logiciel PLAXIS.
Les résultats de la simulation au (PK-0+625) nous pouvons affirmer que le
soutènement jugé par la méthode de classification empirique ajusté pour le
soutènement du type S3 (cintre HEB 160 avec un espacement de 1m + béton projeté
d’une épaisseur de 0,28m).
L’objet de ce travail de thèse est le développement d'une solution explicite pour
l'évaluation de l'interaction du massif rocheux-soutènement pour un tunnel en milieu
urbain (cas: Métro d'Alger).
Les méthodes que nous avons employés ont approuvées l’efficacité du soutènement
appliqué au niveau du tunnel avec une recommandation de l’utilisation d’un pré soutènement à la traversé de l’horizon Sa (schistes très altérés).
Les résultats ont également montrés la nette supériorité de la modélisation numérique
devant les méthodes de calculs classiques