Le parasitisme chez les principales espèces de poissons peuplant la lagune El Mellah Inventaire et quantification
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Date
2005
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Abstract
L’examen des branchies de 12 espèces de poissons Téléostéens pêches dans la lagune El
Mellah nous a permis de récolter 3225 parasites rattachés à 4 sous classe (Monopisthocotylea,
Polyopisthocotylea ,Copepoda,,Isopoda).
L’observation des caractéres anatomiques et biologiues des parasites récolt és nous a permis
de recenser 27 espèces répartis comme suit : 12 espèses de la sous classe Monopisthocotylea
(Diplectanum aequans,Ligophorus angustus,Ligophorus szidati,Furnestinia
echeneis,Encotyllabe sp, Lamellodicus elegans, Lamellodiscus ignoratus , Lamellodiscus
fraternus , Lamellodiscus oliveri, Pseudodactylogirus sp,).7 espèces de la sous classe
polyopisthocotylea (Microcotyle mugilis, Microcotyle labracis ,Atrispinum chrysophrii,
Plylabris tubisirus ,Atriasther heterodus , Pgellycotyle mormyri, Microcotyle sp.) 7espèces de
la sous classe Copepoda (Caligus mugilis , Caligus minimus ,Lernantropus mugilis ,Ergasilus
gibbus , Ergasilus mugilis ,Bomolochus solea, clavellotis sargi) et une espéces de de la sous
classe isopada (Nerosila sp).Les spésimens de la sous classe Malacostrcae sont en revanches
absents chez les poissons examinés.
Nous notons, par ailleurs, que le plus grand nombre d’espèces parasites est rencontré chez les
Sparidés qui abritent 11 espèces contre seulement 7 chez les Mugilidés.
L’évaluation des paramètres structuraux des peuplements de parasites montre que la richesse
spésifique la plus importante caractérise l’espèce hôte Diplodus vulgaris suivie de Liza
aurata. Ce sont, par ailleur, les espèces hôtes A.anguilla et D.puntazzo qui abritent le moins
d’espèces.
Chez les sparidés D.vulgaris et D.puntazzo les monopisthocotylea représentes plus du double
Du nombre de poliopysthocoylea / poissons infesté ; en revanche, chez S.aurata il y a trois
plus /poissons infesté que de monopisthocotylea . Chez l’éspése D.sargus la répartition des
monopisthocotylea, et des poliopysthocoylea par poisson infesté est similaire. La présence
des crustcés est relativement plus marquée chez les espèces S.aurata et D.vulgaris.
Chez D.labrax infesté il est relevée 26 fois plus et 13 fois plus de monopisthocotylea, que de
poliopysthocoylea et de crustacés respectivement. Les espèces S.senegalensis et A.anguilla
sont les espèces hôtes les moins parasités.
Chez les mugilidés ; l’espèce L.aurata héberge 12 et 9 fois plus de monopisthocotylea/
poisson infesté que Liza ramada et chelon labrosus respectivement. En ce qui concerne les
poliopysthocoylea et les crustacés, l’espèce M.cephalus héberge respectivement 4fois et 3 fois
plus par poissons infestés que les autres espèces.
L’estimation de la biodiversité devrait être faîtes parallèlement à d’autres études portant sur
les conditions environnementales ; car il est rapporté que les ectoparasites présenterait une
sensibilités plus élever que leur hôtes vis-à-vis de certains polluants (produits chimiques,
pesticides) et de l’altération artificielles de la salinités, la T° et la concentration en O2 de
l’eau