LE ZOOPLANCTON DE L’ESTUAIRE MARITME DU MAFRAG EN 2005 : COMPOSITION ET BIOMASSE

dc.contributor.authorHADEF Hala
dc.date.accessioned2023-03-15T09:56:20Z
dc.date.available2023-03-15T09:56:20Z
dc.date.issued2009
dc.description.abstractL’estuaire du Mafrag est zone humide littorale très atypique à la fois par le régime hydrologique et par la diversité d’habitats (rivières, estuaire, marécages, intrusion marine). La diversité de biotopes et la discontinuité hydrologique induisent une dynamique très particulière du milieu et du peuplement. L’objectif de ce travail est de quantifier le compartiment zooplanctonique, élément clé dans le chaîne trophique estuarienne souvent très linéaire. La salinité est très variable à la fois dans l’espace et verticalement dans la colonne d’eau (0-36 pus). Il faut également relever la forte stratification de l’estuaire en particulier au printemps qui provoque l’isolement de la couche profonde de celle de la surface. Le zooplancton a été étudie à partir de pêches mensuelles réalisées dans la couche de surface dans trois stations. En période d’échange avec la mer, très allongée cette année 2005, le zooplancton est abondant où la densité peut atteindre une moyenne de densité 400ind. m-3, ce qui correspond à 1.1 mg C. m-3. Sur le plan de la diversité zooplanconique, on recense 44 espèces dont plus de 50% d’espèces reviennent aux Copépodes et aux Cladocères. De même, numériquement les Copépodes et les Cladocères forment l’essentiel de l’abondance et de la biomasse en particulier lors de la période d’échange maximum avec la mer et les marécages. Lorsque l’estuaire se confine quelque peu en été, la biomasse diminue au minimum. Au niveau écosystémique, la respiration est un indice de dégradation de la matière organique totale et donc un bon indice des flux de carbone organique à travers la communauté,au niveau de l’estuaire du Mafrag les variations annuelles moyenne de l’ordre de 44 mg C/m-3/j. Et la valeur annuel de production est de l’ordre de 29 mg C /m-3/j. Si l’estuaire est à vocation eutrophe, la richesse ne se traduit pas cependant au niveau de la production secondaire en raison peut-être de problèmes d’échantillonnage. En effet les résultats ne concernent que la couche de surface échantillonnée dans cette étude.
dc.identifier.urihttps://dspace.univ-annaba.dz//handle/123456789/2333
dc.language.isofr
dc.titleLE ZOOPLANCTON DE L’ESTUAIRE MARITME DU MAFRAG EN 2005 : COMPOSITION ET BIOMASSE
dc.typeThesis
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